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Carrefour Alfred Stieglitz, sous la dir. de Jay Bochner & Jean-Pierre Montier, PUR, 2012


Alfred Stieglitz est aujourd’hui insuffisamment connu en France. Ce n’est qu’en 2004, à l’occasion d’une grande exposition au Musée d’Orsay, « Alfred Stieglitz et son cercle (1905-1930) », que le public français a pu être initié à son apport dans les divers domaines de l’art moderne tel qu’il évolua aux États-Unis. Il fut pourtant la personnalité la plus marquante de la première époque moderniste à New York, que ce soit comme photographe, comme impresario ou même prophète de la peinture et de la littérature modernistes. Pour combler cette lacune du côté européen, un colloque de Cerisy-la-Salle réunissait en juin 2010 de grands spécialistes américains, français, canadiens et allemands, pour débattre de l’importance et du rayonnement d’un artiste polémiste et directeur de galeries. Notre colloque, « Carrefour Alfred Stieglitz/The Sign of Stieglitz », se proposait d’analyser les enjeux esthétiques du photographe, de réevaluer la portée de sa pratique ; de ses polémiques et de son influence, de son mythe aussi ; d’examiner les artistes de son entourage, des plus proches aux moins proches ; et d’apporter des précisions utiles sur cette époque du modernisme naissant, dans la première ville vouée à la modernité. C’est donc ce Carrefour de Cerisy que nous présentons, à la croisée des diverses voies du modernisme américain et de la critique internationale.


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Voir l’introduction de Jay Bochner & Jean-Pierre Montier :
« L’homme du tournant du XXe siècle, Alfred Stieglitz »


et la version anglaise de l’introduction.