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Rachel et la tragédie

JANIN, Jules

Type : livre

Collection :

Editeur : Amyot

Lieu de publication : Paris

Date de publication : 1859

Format : 528 p. ; 18,5 x 26,5 cm, photographies : 9,5 x 12,5 cm et in-4 de luxe, (ph. plus grandes)

Langue : FRE

Illustré de photos : oui

Attribution texte/image : Texte : Jules Janin, photographies : Henri de la Blanchère

Notes : « Photographies par Henri de la Blanchère, 39 boulevard des Capucines, Paris ». 10 tirages albuminés, dont 2 portraits : frontispice d’après un tableau de M. Muller et « Rachel au Cannet (trois mois avant sa mort) » et 8 poses montrant l’actrice ni au théâtre, ni devant un décor peint – le lieu paraît dessiné sur le tirage même qui fut alors rephotographié :
« HERMIONE. “Seigneur, dans cet aveu dépouillé d’artifice, / J’aime à voir que du moins vous vous rendez justice, / Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel, / Vous vous abandonnez au crime en criminel” (Andromaque, acte IV, scène V) » (en regard de la p. 88) ;
« CAMILLE. “Hélas !...” (Horace, acte IV, scène II) » (en regard de la p. 100) ;
« MONIME. “Et toi, fatal tissu, malheureux diadème, / Bandeau que mille fois j’ai trempé de mes pleurs, / Au moins en terminant ma vie et mon supplice, / Ne pouvais-tu me rendre un funeste service ?” (Mithridate, acte V, scène I) » (en regard de la p. 140) ;
« PHÈDRE. “On dit qu’un prompt départ vous éloigne de nous, / Seigneur. À vos douleurs je viens joindre mes larmes ; / Je vous viens pour un fils expliquer mes alarmes” (Phèdre, acte II, scène V) » (en regard de la p. 200) ;
« PHÈDRE. “ PHÈDRE. Tu connais ce fils de l’Amazone, / Ce prince si longtemps par moi-même opprimé. / ŒNONE. Hippolyte ! Grands Dieux ! / PHÈDRE. C’est toi qui l’as nommé !” (Phèdre, acte I, scène III) » (en regard de la p. 246) ;
« ROXANE. “Holà ! gardes, qu’on vienne ! / Acomat, c’en est fait ; / Vous pouvez retourner, je n’ai rien à vous dire. / Sortez. Que le sérail soit désormais fermé, / Et que tout rentre ici dans l’ordre accoutumé” (Bajazet, acte II, scène II) » (en regard de la p. 256) ;
« ATHALIE. “Sa mémoire est fidèle ; et, dans tout ce qu’il dit, / De vous et de Joad je reconnais l’esprit. / Voilà comme, infectant cette simple jeunesse, / Vous employez tous deux le calme où je vous laisse” (Athalie, acte II, scène VII) » (en regard de la p. 280) ;
« LA CZARINE. “Abondante en richesse, ou puissante en crédit, / je demeure toujours la fille d’un proscrit” » (en regard de la p. 486).

Source ou rédacteur de la fiche : (P. Edwards, réf. Soleil Noir : 861)

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